Jacques Tardi est né le 30 juin 1946

 

 

Le démon des glaces (1974)

 Le démon desUn très grand hommage aux récits de Jules Verne. Tardi nous sort une histoire assez loufoque derrière un aspect plutôt "classique", teintée de fantastique, préfigurant les Aventures d'Adèle Blanc-Sec. Graphiquement ça me semble
irréprochable, l'auteur imite plus ou moins les dessins sur gravure du XIXe siècle tout en jouant génialement avec les formes des cases. On a ainsi le droit à des illustrations grandioses et à de superbes plans larges. Une bonne partie de l'action nous est racontée "en encadré", un peu comme un roman illustré, ce qui rajouté à l'impression d'ancienneté


 
 

  

 

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Des personnages aussi bizarre les uns que les autres,avec des situations tout aussi farfelues,voilà ce qu'est Adèle Blanc-Sec.
Le trait de Tardi anime tout ce petit monde avec brio dans une ambiance mélangeant fantastique,polar et étrange.

 

Tome 1 - Adèle et la bête (1976)

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Tome 2 - Le démon de la tour eiffel (1976)
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Tome 4 - Momies en folie (1978)
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Tome 5 - Le secret de la salamandre (1981)

 

 

Tome - 6 - Le noyé à 2 têtes (1985)

 

 

Tome - 9 - Le labyrinthe infernal (2007)

 
 

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Griffu (1977)

Un pseudo détective (style anti-héros) embarqué dans une affaire bizarre (arnaque immobilière...je vais quand même pas tout vous raconter). Le scénario est bien ficellé et le rythme ne s'essouffle pas.

 
 

 

 

Polonius (1977)

Comme chacun le sait, Polonius est un personnage d'Hamlet. Comme chacun le sait malgré son nom Polonius est danois, tout comme Hamlet d'ailleurs. Ce Polonius là doit au talent de Picaret qui a peu oeuvré dans le domaine de la BD et qui nous offre sous couvert d'heroic fantasy une oeuvre qui se veut une méditation sur le désir de pouvoir. Beaucoup de sexe et pas mal de violence mais surtout le talent à l'état brut de Tardi, dont aucune oeuvre n'est anodine.

 
 

 

 

Mouh - Mouh (1979)

Recueil d'histoires courtes parues dans Pilote. Avec dessins inédits de présentation. ''Un cheval en hiver'', ''la Torpedo rouge sang'', ''l'homme qui connaissait le jour et l'heure'', ''knock-out'', ''le soldat oublié'', ''le brouet écarlate'', ''allô Janine!'', ''un épisode banal de la guerre des tranchées'', ''la bascule à Charlot''

 
 

 

 

Excellente adaptation en bande dessinées d'un des classiques du polar à la française crée par Léo Malet en 1943.

Tome 1 - Brouillard au pont de Tolbiac (1982)

 

 

 

 

 

 

 

Tome 2 - 120, rue de la gare (1988)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Tome 3 - Une gueule de bois en plomb (1990)

 

 

 

 

 

Tome 4 - Casse pipe à la nation (1996)

 

 

 

 

 

 

 
Tueurs de cafards (1984) 
 

 
Chiures de gommes (1985) 
 

 

Voyage au bout de la nuit (1988)

Illustration d'un Livre de Céline

 
 

 

Jeux pour mourir (1992)

 
 

 

C'était la guerre des tranchées (1993)

Tardi nous offre une bande dessinée fort émouvante qui décrit excellement les terribles conditions des soldats de cette guerre totalement absurde (une vraie boucherie). Tardi nous raconte des "tranches de vies" de combattants, des histoires qui ne sont pas tirées de la réalité mais qui ont pu très bien exister. Le style graphique est parfait pour le contexte et la construction de l'album, la manière de passer d'une histoire à l'autre sont aussi excellentes.

 
 

 

Le der des ders (1997)

Encore une adaptation de Tardi, passé maître dans le polar d'avant guerre. C'est bien ecrit et bien dessiné. La fin inattendue, bref, un trés bon polar.

 
 

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Le cri du peuple

Mai 1871, les troupes "versaillaises" du gouvernement Thiers commencent à entrer dans la ville de Paris défendue par les révolutionnaires de la Commune. Au milieu des combats et de la répression sanglante des armées "bleu-blanc-rouge" sur celles du drapeau rouge, un homme est à la recherche d'un autre. Bassicoussé, devenu Horace Grondin, sous-chef de la Sureté, n'a toujours qu'une idée : celle de venger la mort de sa fille Jeanne

 Tome 2 (1999)

 
 

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La Débauche (2000)

C'est un animal pas banal. Dans une cage du Jardin des plantes, normalement occupée par des tigres ou des gorilles, apparaît un jour un drôle de pensionnaire : un humain. Plus précisément, un Homo sapiens labore carens. Ou encore, pour faire court, un chômeur. Stupeur et attroupements. La télévision s'empare du phénomène. Un chômeur en cage, c'est bon pour l'audimat. Surtout le jour où le pauvre bougre disparaît, avant de réapparaître suspendu au bout d'une corde..

 
 

 

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